Un pêle-mêle de souvenirs à plusieurs voix. Non pas des tartines de nostalgie à s'en coller les doigts (d'ailleurs ce n'était pas forcément "mieux avant"), mais des clins d'œil, des pensées, l'écho1
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de moments passés, des bouquins lus, des musiques écoutées, des hommages à rendre, des films presque oubliés, des souvenirs de lieux disparus ou des images à partager juste pour ne pas laisser la poussière s'accumuler. Et si possible en polyphonie parce que la plus sûre façon de partager, c'est de jouer la diversité. Si cela ne s'était pas appelé "Je me Souviens", ça aurait aussi pu s'intituler "Grenier commun". Et bien sûr, toutes les générations sont bienvenues, c'est même le but du jeu... On dit souvent que regarder parfois dans le rétro permet d'aller bien plus sûrement de l'avant !
Ça peut être soudain le motif du papier peint dans une chambre d'hôtel. Déjà vu quelque part, mais où ? Lors d'une visite à des grands-parents lorsqu'on était enfant ? Dans une autre chambre de passage ? Pourtant, ces volutes, ces médaillons, ces fleurs, on les connaît par cœur. On se souvient même avoir passé des heures à en suivre les sinuosités,
Moi Ginette, Italienne d'origine mariée au menuisier Maxime Ferrari, je travaille comme standardiste chez Microprocession, Société Informatique de cinquante personnes en plein coeur de Marseille.
Dans son édition du mercredi 15 décembre, le quotidien britannique The Guardian a publié une rétrospective photographique tout à fait étonnante, pour rappeler aux britanniques que l’hiver 2010 a eu de terribles prédécesseurs, et notamment 1962.
A l'heure même où Direct 8 diffusait L'Incorrigible de Philippe de Broca (1975), un de ses acteurs quittait définitivement le plateau. Il était 22h20. Nous étions dimanche 21 novembre. Il s'agissait de Julien Guiomar.
La tête se courbe en arrière, secouée par la peine qui l’habite. Les yeux se ferment sur l’indicible douleur. La bouche exhale sa sourde plainte. Billie Holiday chante au Downbeat, en 1947, à New York.