Force est de constater que Camus était non seulement un témoin des émotions de son temps mais aussi un visionnaire. Le roman La Peste apporta à Albert Camus, la reconnaissance totale avec le prix Nobel de littérature en 1957. Oui, La Peste est un des grands opus de l’écrivain. D’ailleurs, qu’est-ce que la Corona aujourd’hui ? Et surtout, que nous dit La Peste de nous-même ?
Si vous avez toujours voulu savoir pourquoi Northampton est le centre de l’Angleterre (et du monde), ce livre est fait pour vous. Si vous ne voulez pas savoir pourquoi Northampton est le centre de l’Angleterre (et du monde), ce livre est fait pour vous.
Un roman à lire si vous avez un peu de temps devant vous (genre un confinement, par exemple. Oh bah ça alors, ça tombe bien).
Un très beau texte grâce à la maîtrise de l’auteur qui tient fermement toutes les composantes de la narration, sait susciter l’émotion sans pathos, et parle aussi de notre monde aujourd’hui, de nous-mêmes donc.
Le premier roman de Laurent Petitmangin est une réussite !
L’action se déroule au petit village de « La Bassée », dans le hameau dit de « L’Écart des trois filles », trois maisons isolées : l’une est inoccupée et les deux autres sont habitées de longue date par une artiste venue de Paris et de toute éternité par la famille Bergogne.
Le célèbre écrivain américain Richard Powers fait du roi des végétaux un personnage parmi d’autres de son dernier et douzième roman : « L’Arbre monde » . Dans ces pages, les troncs toujours se dressent de leurs impressionnantes hauteurs, toujours, face à l’Homme, demeurent. Avec ces autres vivants non humains, neuf étasuniens vont lier dramatiquement leurs destins.
Au début du XIXème siècle, la part belle était donnée à l’humain non pas dans sa singularité mais comme êtres liés par la politesse des genres dans une matrice unifiée, ici celle de l’Allemagne romantique. Kaspar, l’abandonné serait né en 1812 et fut assassiné en 1833 : vingt et un ans d’une vie bousculée, conspuée, disséquée, une existence assassinée.
Dans ma bibliothèque, j’ai trouvé Le Petit Prince, dans sa version livre Pop-up, c’est du pop mais en mieux. Du sur-pop alors ? Du néo-populaire donc ? Non, c’est toujours et encore ‘Du pop eut l’air’ d’un somptueux livre et sa lecture renouvelée justifie toujours ce credo
La Cité Artaud: un nom fictif et symbolique pour un lieu réel et tragique; un espace romanesque qui aspire le lecteur dans un univers de violence et de haine. Chaque échappée débouche sur une impasse, fait monter d'un cran la violence et ne laisse poindre aucune lueur d'espoir. Rien de spectaculaire, ni rébellion ni vengeance, seulement l'engrenage implacable d'une cruauté trop humaine.
Avec ce roman, premier d’une trilogie dédiée au Japon post-seconde guerre mondiale, l’auteur utilise le prétexte d’une enquête policière sur un fait divers sordide (le viol et le meurtre d'adolescentes) pour nous plonger dans le Tokyo de 1946, livrant un roman d’une noirceur abyssale. Une expérience immersive à couper le souffle, pour peu que le lecteur entre dans cet univers oppressant.