Au-delà des mots, dont les syllabes, râpeuses, âpres, déchirent le silence, agressent nos oreilles, il y a une performance déroutante, celle d’une comédienne exceptionnelle, Valérie Dréville. Femme incandescente, bafouée, déesse barbare, terriblement humaine, elle inscrit dans sa chair les blessures, les souffrances d’une amante, d’une mère. Un moment de théâtre effroyablement supportable.
À l’occasion du cycle "Glamour" au Forum des images, Véronique Le Bris, auteure et journaliste, explore les liens qui unissent les actrices et la haute couture, à la ville comme à l'écran.
Jim Jarmusch avec actuellement son quatorzième long métrage, fictions et documentaires compris, a fait œuvre, imposant avec une discrétion feinte mais une assurance sans failles un univers philosophique et esthétique qui n’a pas fini de faire rêver-penser, pour accéder à « un monde plus loin », comme le propose en sous-titre de son ouvrage Céline Murillo.
Une grande bâtisse en pierre de Haute-Garonne. Sur son fronton, une porte gravée d’un “1901”. Un nom tout trouvé pour les habitants du collectif L’An 01, en écho au film éponyme ! Ce groupe de jeunes, dont la composition a beaucoup évolué au fil des ans, avait d’abord tâté le terrain du faire-ensemble, en créant l’association toulousaine Utopons
Émission avec Vera Varsa-Szekeres, auteure de "Salamandre. Une vie confrontée à la Gestapo française et à la police politique hongroise" (L'Harmattan, 2016). Diffusée le 20 mai 2017 sur Tilos Rádió FM 90.3.