La préparation de la « grève scolaire internationale » du 15 mars, si elle ne s’astreint pas à l’apolitisme et la non-violence, peut être l’occasion de structurer un large mouvement de jeunesse autour d’une plateforme écologiste et anticapitaliste.
À la suite du mouvement enclenché en Suède, en Belgique, en Australie et en Suisse, des étudiants français annoncent que la première grève pour le climat aura lieu vendredi et se répétera toutes les semaines. Affichant la solidarité avec les Gilets jaunes, ils donnent des devoirs à faire au gouvernement. (repris du site Reporterre)
Service National Universel : Nous marchons pour le climat, nous publions des Appels dans tous les sens pour alerter sur l'urgence écologique, Monsieur Hulot a démissionné et le gouvernement au lieu d'investir dans l'éducation des jeunes à l'environnement, qui est la base du changement, veut mettre des milliards par an dans le S.N.U: elle n'est peut être pas assez claire cette réponse-là ?
Maladroits, à côté de la plaque, contradictoires… Sincères et vivants. Rien à voir avec la naphtaline des techniciens du verbe. C’était mieux maintenant. Une énergie qui transformerait le monde. Et même le changerait. Avec vous, fromage et dessert. Plus tout le reste. Le désespoir, pour paraphraser le poète Edmond Jabès, a des limites. Pas l’espérance.