L'Autriche vient de voter à l'ONU - avec les USA et Israël, mais aussi une série de micro-états qui sont leurs obligés dans le Pacifique et trois autres « petits » pays européens -, contre une résolution qui demandait une aide humanitaire pour les Palestiniens de Gaza mais ne mentionnait pas explicitement le Hamas. Le passé antisémite n'explique pas tout.
L'occident a soutenu Israël de façon massive, sans se soucier du droit international et des droits du peuple palestinien. L'Europe par son alignement sur la politique israélienne, détruit l'avenir que nous voulons tous en commun.
Le 7 octobre, je rentre chez moi après une semaine passée en Israël et en Palestine. Je suis, alors, pleine d’espoir pour une paix entre deux peuples. Ouïghoure et musulmane, ayant vécu sous la colonisation chinoise, je suis sensible à ce conflit. L’Occident doit être du côté de la paix. Les responsables politiques doivent faire pression pour obtenir un cessez-le-feu et la libération des otages.
« La voix d’une mère de famille, Sabine Grataloup, qui depuis des années s’élevait contre le poids écrasant des industriels de l’agrochimie, se fait enfin entendre. Elle se battait pour son fils, Théo, atteint par de graves malformations depuis sa naissance. La raison ? Elle a été exposée au glyphosate pendant sa grossesse. » Pour un ensemble d'élu·es et personnalités, les mesures nécessaires pour protéger la population contre les dangers du glyphosate doivent être prises. « La France doit porter ce message sans trembler. »
« C'est la criminalisation des idées politiques de gauche qui est en jeu dans ce procès. » En soutien aux inculpé·es du procès dit de « l’ultragauche », un ensemble d' intellectuel·les, artistes, militant·es, journalistes dénonce « l’assimilation des militant·es de gauche à des terroristes, et la criminalisation des personnes engagées pour plus de justice, de solidarité et d'écologie ».
« Ces bouts d’histoires venues de tous les continents, le fruit de notre travail, nous les recueillons parfois au péril de nos vies. » Alors que se sont ouverts les Etats généraux de l'information ce 3 octobre, un large ensemble de journalistes correspondant·es à l’étranger interpellent les pouvoirs publics sur la détérioration de nos conditions de travail. « Notre travail rigoureux au plus proche du terrain vous permet de savoir ce qu’il se passe à l’autre bout du monde. Nous demandons de ne pas avoir peur de tomber malades lorsque nous travaillons. »
Mediapart vous invite jeudi 19 octobre à Paris, de 18h30 à 21h30, salle Olympe de Gouges (Xième), pour une soirée publique de lancement du livre « #MeToo Le combat continue » écrit sous la direction de Lénaïg Bredoux.
Mediapart fête ses 15 ans le samedi 28 octobre de 14h à 18h à la Rayonne à Villeurbanne. En présence d'Ostpolitik, Youmni Kezzouf, Mathieu Dejean, Livia Garrigue, Faïza Zerouala, Ana Ferrer, Bérénice Gabriel et de Cécile Sourd. Mais aussi des journalistes de Rue89Lyon et Mediacités Lyon. Venez échanger sur l'extrême droite, le journalisme d'investigation local, la vidéo et le participatif.
"Par la fenêtre ou par la porte", c’est l’affaire France Télécom-Orange racontée par celles et ceux, salarié·es et syndicalistes, qui pendant des décennies ont combattu l’inhumanité d’une direction d’entreprise orientée uniquement par la rentabilité financière. Mediapart participe à une projection suivie d'un débat le 9 novembre à l'Espace Saint-Michel.
« Se tenir droit », qui vient de paraître aux Éditions du Seuil, réunit douze portraits qui illustrent une politique sensible, de principe et d’éthique. En attendant d’en débattre mardi 17 octobre à la Maison de l’Amérique latine à Paris, voici le début de son introduction.