L’ensemble des secteurs touchés par la crise du Covid ont pu d’une manière ou d’une autre bénéficier des aides versées par l'Etat et ainsi sauver les meubles. Le chômage partiel a été la règle pour bon nombre de salariés et tant mieux pour eux ! Mais il existe des salariés qui n’ont pu en bénéficier, car ils sont sans statut ou alors avec des statuts très précaires. Je veux attirer l’attention sur le cas des salariés saisonniers.
Après les succès des mobilisations antiracistes, contre les violences policières et contre l’islamophobie de l’année dernière, le Front Uni des Immigrations et des Quartiers Populaires entend continuer de mener les combats et propose d'organiser des États Généraux des Quartiers Populaires avec toutes celles/tous ceux qui prennent la mesure de ces besoins.
La crise que nous traversons doit nous ouvrir les yeux sur les réponses démocratiques, économiques, sociales, écologiques et culturelles que nous avons l'opportunité historique d’apporter. Des acteurs publics écologistes s'organisent pour engager une bifurcation radicale de nos politiques publiques. Par «Le lierre», réseau d’acteurs publics, d’experts et fonctionnaires se revendiquant de l'écologie politique.
La question des ghettos reste d'actualité dans les quartiers sensibles et seule une réponse sociale peut changer la donne. En réponse à l'article de Maurice Berger paru dans le Figaro : « Non, la violence gratuite n’est pas due à la ghettoïsation ».
Face à un gouvernement qui perpétue la culture du viol et méprise les minorités de genre, un ensemble de collectifs féministes appellent à une large mobilisation nationale le 8 septembre. « Construisons un monde féministe! » exhortent-elles, pour construire peu à peu les luttes jusqu'à une grande grève du 8 mars 2021. « Envahissons les rues, manifestons, occupons l'espace public pour construire une société juste: féministe, anticapitaliste et antiraciste ».