Totalement habitée par l’aliénation contenue de son personnage, Isabelle Adjani, visage figé, marmoréen, bouillonne et tempête de l’intérieur. Troublante dans ce film très inégal, elle donne avec Corinne Masiero une couleur intense à l’ensemble et interroge nos consciences sur le sujet brûlant qu’est la souffrance au travail.
L’exigence du texte aurait sans doute suffit à une mise en scène fluide de ce duo en plein air, sans que nul piano, nul jukebox ne vienne perturber ce coït verbal, ce que les dix dernières minutes seulement des « Beaux jours d’Aranjuez » lui laissent pour nous émouvoir et rappeler le talent de conteur de Wim Wenders.
"Nous avons décidé d'aller dans les institutions, au risque de se perdre, quelle autre solution avions-nous ?", dit Alberto Arricruz, expliquant la stratégie de Podemos. Ce mouvement a choisi de prolonger la mobilisation des Espagnols dans la rue depuis le 15 mai 2011 par un processus de conquête des institutions. Apparaît alors le risque que Podemos devienne un parti politique comme les autres...
Je les avais vu à Saint-Etienne en 75...
Jubilatoire...
Bon, le dernier vient de se barrer, comme ça, silencieusement...
Tiens... Il avait le même âge que ma maman... qui les chantait, des fois.