Depuis le 14 mai Hamid Mokaddem, enseignant, chercheur et militant, qui vit en Kanaky (Nouvelle-Calédonie) depuis 1989 publie des chroniques sur le site de la courte échelle.éditions transit qui ont publié plusieurs de ces ouvrages dans la collection Kanaky-Calédonie. Je publie ici celle du 26 mai.
« Nous appelons les journalistes et critiques politiques qui œuvrent pour une information impartiale et véridique, à apporter une couverture médiatique plus globale et plus juste sur ce qui se passe actuellement dans l’archipel. » Une cinquantaine d'universitaires, artistes et citoyen·es de Kanaky/Nouvelle-Calédonie et de France interpellent les responsables politiques et les médias. Et alertent sur les nombreuses contrevérités en circulation dans les débats en cours.
Quand on sait que la vérité est la première victime en ces périodes troubles. On se dit que ce qui se déroule en Kanaky-Nouvelle-Calédonie ne déroge pas à la règle. Dans une Kanaky-Nouvelle-Calédonie actuellement troublée, il est bon de se rappeler que nous ne sommes pas nés de la dernière pluie.
Lundi 20 mai : tout est calme à Koné, chef-lieu de la province nord de Nouvelle-Calédonie en ce jour férié de Pentecôte. Les médias et les réseaux sociaux permettent de suivre attentivement les actualités en provenance de Nouméa et du grand Nouméa où se concentre le chaos.
Que nous soyons avocat·es, chercheur·ses, consultant·es, ou député·es, nous ressentons une impérieuse urgence à répondre à l'appel des étudiant·es mobilisé·es de Sciences Po et refusons de fermer les yeux sur les massacres en cours à Gaza. Nous demandons à l'administration de défendre ses étudiant·es face à l'agitation politico-médiatique insensée. Nous regrettons la nécessité de rappeler que défendre le droit international n’est pas un acte radical, mais la conclusion de notre éducation à Sciences Po.
La crise du monde agricole est l’occasion pour le gouvernement et les organisations patronales de resservir un discours anti-contrôles et anti-normes aussi démagogique que délétère, qui font peser un risque important de violences à l’encontre des agent·es qui en ont la charge, s’insurgent plusieurs organisations syndicales prises pour cibles lors des dernières manifestations.
« Nous exprimons notre vive inquiétude face à la présence croissante des forces de police dans l’enceinte des universités, en violation de la tradition de franchise universitaire visant à préserver la liberté et l’autonomie de la pensée. » Plus de 1000 enseignant·es, chercheur·ses et personnels des universités condamnent fermement le recours aux forces de l’ordre pour réprimer les étudiant·es mobilisé·es en faveur du respect du droit international à Gaza, ainsi que les interpellations visant à « freiner l’engagement d’une jeunesse informée et indignée ».
Retour sur 8 ans d'engagements et de défis pour la paix / Journée de panels, tables rondes et productions audiovisuelles, organisée par le Réseau France Colombie Solidarités, l'association TEJE, le Collectif de soutien à l'héritage en France de la Commission Vérité, l'Association des Juristes Franco-Colombiens, l'Ambassade de Colombie en France, et le Consulat de Colombie
Cette séance de l'Université populaire est l'occasion de revenir sur les évènements politiques qui ont marqué l'histoire du sport et des jeux olympiques en interrogeant les liens entre « Sport et révolution ».
Festival d’éducation populaire dont l’objectif est de se questionner collectivement et de poser un regard critique sur des sujets de société dans un objectif d’émancipation. C’est une incitation au débat, à l'échange et à la confrontation d'idées pour apprendre à faire société dans une position d'égalité. Il s’agit également d’oser prendre la parole, de prendre sa place et de faire société.
Trois semaines après la parution du dernier tome de mon étude sur « La Loi de 1905 n’aura pas lieu. Histoire politique des séparations des Eglises et de l’Etat (1902-1908) », j’ai le plaisir de vous inviter à venir participer au débat avec Mazarine Pingeot, le jeudi 2 mai 2024 à 18h30, à la Fondation Maison des Sciences de l'Homme (Paris 6).