Qu’est-ce que le rapport qu'une société entretient avec la mort nous dit d’elle-même ? de son évolution ? de son humanité ? de son système politique ? Récit d'une enquête intime et collective, « A la vie ! » d’Élise Chatauret est une ode à l'instant présent et au théâtre, seul endroit où il est possible d'apprendre à mourir. Bouleversant.
Les débats qui ont eu lieu et qui se poursuivent autour du projet de loi « Fin de vie » suscitent quelques réactions, parfois assez radicales, de la part des opposants au droit à mourir. Nous pressentons que le projet de loi qui se dessine sera bien en dessous de ce que nous revendiquons, alors nous rappelons juste ici que gouverner une société humaine n’autorise pas à gouverner l’intimité des vies de celles et ceux qui la constituent. Érick Ducret, Bruno Grall, Danielle Poirier et André Smolarz
S'il est bon d'arriver par humanité au droit d'être soulagé de ses souffrances à défaut d'être soigné et guéri, la privation de soins dont sont victimes de nombreux malades, par l'argument de l'âge ou de la pathologie, relève pourtant déjà aujourd'hui d'une fin de vie non choisie, imposée par un système parfaitement déshumanisé.
Des enseignants et chercheurs, dont Etienne Balibar et Pierre Zaoui, condamnent l’intervention policière qui s’est déroulée à l’Ecole Normale Supérieure de la rue d’Ulm, dimanche 26 mai au soir, et appellent à la réouverture de tous les établissements d’enseignement supérieur.
« Nous avons l’obsession de défendre la Sécurité sociale et ses principes de solidarité. » Alors qu'un projet de loi pour consacrer la Sécurité sociale dans la constitution sera débattu ce jeudi 30 mai à l’Assemblée nationale, quatre représentants des principaux syndicats - Sophie Binet pour la CGT, Marylise Léon pour la CFDT, Laurent Escure pour l'UNSA et Benoit Teste pour la FSU - appellent à « saisir cette occasion pour ouvrir un grand débat sur l’avenir de la Sécurité sociale dans le pays. »
« Nous appelons les journalistes et critiques politiques qui œuvrent pour une information impartiale et véridique, à apporter une couverture médiatique plus globale et plus juste sur ce qui se passe actuellement dans l’archipel. » Une cinquantaine d'universitaires, artistes et citoyen·es de Kanaky/Nouvelle-Calédonie et de France interpellent les responsables politiques et les médias. Et alertent sur les nombreuses contrevérités en circulation dans les débats en cours.
Le lundi 17 juin, à partir de 18h au bar Les Sarrazins situé 54 rue des Sarrazins à Lille, le Comité Local des Soulèvements de Lille organise une grande soirée de lutte autour de l’eau et contre les projets écocidaires que sont le Canal Seine Nord Europe et les Mégabassines en présence de Julien Le Guet.
Les vendredi 07 juin et samedi 08 juin 2024, aura lieu la première édition du Festival d’Histoire Populaire (FHP). Entièrement gratuit et consacré aux « Paroles populaires » de l’Antiquité à nos jours, il se déploie sur quatre lieux cristoliens : le Campus éco-gestion de l’UPEC, les Cinémas du Palais, la Médiathèque Nelson Mandela et les Archives départementales (AD94).
Féru·e·s de luttes contre toutes les dominations et de culture pop, le mensuel Mouais, la Gare XP, les éditions terres de Feu. et leur auteur Mačko Dràgàn vous invitent à une journée de rencontres autour de ce que cette pop peut proposer de plus subversif – de plus « Molotov ». L’objectif : donner à voir la multiplicité des possibles désirables que ces imaginaires peuvent nous proposer.
La prochaine séance et dernière de l’année de l'université populaire Les mercredis des révolutions intitulée « Paroles en révolution » aura exceptionnellement lieu un vendredi, le 7 juin 2024 de 18h à 19h30 dans le cadre du festival d'histoire populaire de Créteil dont la Société de 1848 est partenaire.