Sommes-nous engagés dans une nouvelle et importante révolution industrielle ? C’est ce que pensent un certain nombre d’auteurs qui prévoient des mutations considérables en matière de manière de produire, de relations au sein des entreprises et, bien sûr, d’emplois.
L’idolâtrie républicaine gagne la France comme autrefois la vérole, lorsqu’elle s’abattait sur le bas-clergé qui n’en pouvait mais. Pour être différent, assurément, ce premier mal n’en est pas moins grave au regard de ses conséquences sur les individus atteints et sur ceux qui tentent de le combattre.
La littérature par sa seule présence peut aussi incarner un esprit de résistance ; c’est elle qui défend le mieux cette existence individuelle, dans sa frivole fragilité, que tous les régimes totalitaires veulent mobiliser et détruire avec une constance qui interroge.
Comment aborder la perte de l’être aimé, fauché un vendredi soir de novembre par des terroristes fous ? Sans pathos, avec beaucoup de pudeur, de retenue, Raphaël Personnaz s’approprie les mots bouleversants d’Antoine Leiris et insuffle aux lendemains noirs, au quotidien banal, amer, une force vibrante, vitale qui touche au cœur, à l’âme. Un moment de grâce, une ode à la vie !