À l'occasion de la Journée internationale contre les violences faites aux femmes, 284 collaboratrices et collaborateurs au Parlement européen appellent les député·es à adopter la résolution qui leur sera présentée en décembre. Elle prévoit notamment la formation obligatoire pour les élu·es et un audit indépendant.
[Rediffusion] Dans la perspective de la Journée internationale pour l'élimination des violences faites aux femmes, un ensemble d'organisations - partis et syndicats - s'allient pour faire cesser l'impunité au sein de leurs structures. « Nous avons décidé de nous rencontrer, de nous parler, et pour la première fois de travailler ensemble afin de nous rendre plus fort.e.s [...] Nous, organisations syndicales et politiques, affirmons que les violences sexistes et sexuelles ne doivent pas trouver de place dans nos structures ».
Mais il peut être rassuré : je ne l’ouvre pas. Parce que si je le faisais, on dirait aussi : « Lui ? Impossible. Je le connais, il est même engagé contre les violences faites aux femmes. »
La journée internationale des violences faites aux femmes est un événement qui prend de plus en plus d'importance dans l'agenda politique féministe. Cependant fort est de constater qu'il continue à invisibiliser bon nombre de violences vécues spécifiquement par les personnes noires à l’intersection du cis-sexisme et du racisme.
Réjouissons-nous, nous, les femmes, car aujourd’hui en 2021, nous récoltons le fruit du sacrifice de nos aïeules. Et ce travail a largement contribué à faire bouger les mentalités. Mais voilà, La France, régime démocratique, ne fonctionne que grâce aux institutions. Et là, ceux que l’on nomme nos dirigeants, ne laisseraient en aucun cas leur place à une femme. Sérieux. Faut pas déconner !