La guerre en Ukraine a suscité à la fois des appels au droit international et une mise en cause de son existence. Un telle rhétorique est significative d’une illusion d’optique relativement commune que l’on voudrait mettre ici en lumière : celle qui consiste, d’une part, à ne pas voir le droit international là où il est et, d’autre part, à le voir là où il n’est pas… Par Olivier Corten
[Rediffusion] Rien en apparence semble lier le sort des femmes afghanes à celui de leurs contemporaines ukrainiennes si ce n’est déjà la dure expérience d’une guerre sans fin. A travers leur corps de femme, peu importe leur âge, elles subissent une guerre menée contre leur statut durement gagné en tant que citoyennes ayant des droits, au nom d’une violence patriarcale que l’on espérait révolue.
La Bulgarie doit se prononcer mercredi 4 mai sur l’envoi d’armes à l’Ukraine, dans un scrutin loin d’être gagné pour le premier ministre. L’occasion d’un entretien avec Albena Dimitrova, ancienne négociatrice de l’entrée de la Bulgarie dans l’Union européenne, sur le cheminement du capitalisme, de l’ancienne « Europe de l’Est » à Chine.
Dans cet entretien avec le journaliste argentin Pablo Stefanoni pour la revue progressiste latino-américaine Nueva Sociedad, le latino-américaniste et politologue de gauche finlandais Teivo Teivainen analyse la perception de la guerre russo-ukrainienne dans un pays qui faisait jadis partie de l’Empire russe et qui a toujours entretenu des relations très délicates avec la grande puissance voisine.
Pour conjurer les « graves dangers pour la paix et la sécurité du monde » de très nombreuses associations et personnalités maghrébines, en France et au Maghreb, soutiennent la lutte du peuple ukrainien et appellent à l'arrêt de la guerre.