Une amie, retraitée de l'Éducation Nationale, m'a remis, hier soir, deux lettres, qui datent de juillet et août 1944. L'une d'elles a été rédigée par son père, le Commissaire de Police de la ville de DENAIN, François CODOL, lequel prévenait les Juifs, les communistes et tout opposant actif au régime de Pétain, de leur arrestation prochaine.
Début mai 1944, les Tsiganes du Zigeunerlager d’Auschwitz sont informés par les Polonais du projet de liquidation de leur camp, de leur extermination totale programmée pour la nuit du 16. Armés d’outils, de pierres, ils feront face aux gardes et les obligeront à reculer. Chaque année le 16 mai, cet acte de résistance incroyable et peu connu est commémoré par leurs descendants
Alors que le principal vainqueur de la seconde guerre mondiale (22 millions de morts) n'a pas été invité aux cérémonies du soixante-quinzième anniversaire du débarquement allié en Normandie, les chefs d'état s'efforcent de faire le job rituel en pérorant de manière factice devant un groupe de plus en plus clairsemé de vétérans...
Le 9 juin 1944 à Tulle, dans une France occupée post débarquement débarquement allié, 99 personnes sont pendues et 149 autres déportées par la division SS das Reich. Le réalisateur Patrick Séraudie donne la parole aux témoins de cette tragédie.
Nicolas Sarkozy et Emmanuel Macron, deux présidents endimanchés, deux pingouins dans la neige des Glières, et une même démarche : monter ici, venir rendre hommage à des maquisards, à quelques jours d'une élection ! Sarkozy en 2007, Macron en 2019. Gênant, non ?