Alors que le pouvoir macronien patauge lamentablement dans ce dossier de l'immigration qui est la pierre d'achoppement de tous les courants de droite représentant la bourgeoisie, les héritiers du passé humaniste de la France ne saisissent pas l'occasion pour se faire entendre...
A l’argument le plus fréquent qui consiste à dire «Nous ne pouvons pas recueillir toute la misère du monde», vous savez bien, vous, que la France (comme tous les autres pays du monde) a déjà connu des vagues de migration, d’Italiens, d’Espagnols, de Nord Africains qui ont été d’une aide considérable dans l’évolution de notre pays et de l’Europe en général.
«Outré par les inexactitudes, les mensonges, le manque de rigueur intellectuelle dont fait preuve ce document de l'Élysée à l'adresse du Parlement, et qui se voudrait pourtant jupitérien avec ses 26 pages, sur le thème des migrations. J’y réponds en 6 pages, c’est 20 de moins que le document gouvernemental.» (Marc Pascal, citoyen)
Le «débat sur l'immigration» est un choix opportuniste scandaleux de la Macronie qui, à la suite de Mitterrand, compte sur la présence d'une Le Pen (ou Maréchal) au second tour de 2022 afin d'assurer sa réélection et la continuité du thatchérisme aux couleurs de la France.
«Ma patrie, c'est la langue française», disait Albert Camus, auquel répondait en écho, Michel Serres: «Ce n'est pas rien, le vocabulaire. Oublier sa langue, c'est perdre son âme.».