[Rediffusion] Depuis février, la voix collective des féministes ukrainiennes n’a pas été entendue. Dans un manifeste, elles exhortent les féministes du monde entier « à la solidarité avec la résistance du peuple ukrainien contre cette guerre impérialiste prédatrice ». Alors que l'agression impérialiste russe « met en péril les acquis des féministes ukrainiennes dans la lutte contre l'oppression », elles appellent à défendre le droit des femmes d'y résister et de déterminer de manière autonome leur stratégie politique face au gouvernement ukrainien.
Alexander Cherkasov, de l’association « Memorial » dissoute par le Kremlin, est venu en France pour faire entendre l’une des rares voix non encore étouffées de la mauvaise conscience du Kremlin. Ce mercredi 6 juillet, il a prononcé un texte puissant aux journées Azat Miftakhov contre la guerre, qui se tiennent à l’Institut des hautes études scientifiques (IHES). Le voici.
Des Ukrainiens, mais aussi des Russes et des Biélorusses quittent massivement leur pays pour se réfugier en Serbie. Ils ont des choses à dire sur leur pays ainsi que sur leurs dirigeants politiques. Leurs voix, plurielles, engagées, pacifistes et anti-nationalistes, révèlent un autre regard sur le conflit. Des voix que le Courrier des Balkans a voulu faire entendre à travers une série de dix carnets.
[Rediffusion] Fin février, le G7 adoptait de lourdes sanctions contre la Russie. Bruno Le Maire annonçait même une « guerre économique et financière totale » contre cette dernière. Plus de deux mois plus tard, le bilan est mitigé. Les sanctions n’ont pas permis d’asphyxier le système financier russe comme Washington et Bruxelles l’espéraient. La « guerre économique » contre la Russie serait-elle une impasse ?