Ere des « fascistes-rois », « violence d’extrême droite libérée par le cynisme et l’irresponsabilité du pouvoir macroniste » (Edwy Plenel)… Certes. Mais deux écueils sont à éviter : minimiser la menace fasciste, et lui accorder trop d’importance dans nos pensées et nos actes. Car, je pose la question : et si, malgré des apparences trompeuses, nous avions en fait déjà gagné ?
Alors que la violence semble irrémédiablement monter en puissance et tisse désormais sa toile jusque dans les milieux dits progressistes, dont certain.e.s n'hésitent plus à la revendiquer, un vent de fraîcheur agite une lueur d'espoir pour toutes celles et ceux qui continuent à croire que résister joyeusement et construire sont deux piliers essentiels pour l'avènement d'une nouvelle société.
Changer le monde. Vaste programme. Après une année où tout semblait possible, à nous de choisir quel monde nous voulons construire sur les cendres de l'ancien.
Dans leur « conquête inversée », les zapatistes croisent le navire de Cortés et lui racontent l'histoire d'un arc-en-ciel.
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