« Capitulation » pour Dominique de Villepin, « soumission » pour le premier ministre français Bayrou, l’ « accord » imposé par Donald Trump à l’Union Européenne suscite majoritairement la réprobation. Des voix moins nombreuses murmurent qu’il valait mieux ce mauvais accord qu’une guerre commerciale. Mais l’accord restera mauvais alors que la guerre commerciale ne sera pas évitée pour autant.
Il y a de quoi être consterné. Bruxelles cède aux exigences léonines de D. Trump : claironnée sur tous les tons, « l’autonomie stratégique européenne » vient de voler en éclats, dévoilant à la fois une vacuité géostratégique, le refus idéologique de restreindre nos dépendances extérieures et, par ricochet, la faiblesse d’E. Macron et de la France à Bruxelles.
L’accord commercial signé fin juillet entre l’Union européenne et les États-Unis n’est pas une victoire. C’est une reddition. Conclu dans la précipitation, sous pression politique, il engage l’Europe sur la voie de la dépendance stratégique et énergétique, sans contreparties dignes de ce nom. La France, qui aurait pu tracer une autre voie, est restée silencieuse au moment décisif.
En 2005, la France se déchirait autour du traité constitutionnel européen. Derrière les slogans et les anathèmes, il y avait un pressentiment. Vingt ans ont passé. Ce qui n’était alors qu’une crainte est devenu une certitude. Le dernier épisode en date – l’accord commercial conclu entre l’Union européenne et Donald Trump – en est le symbole le plus éclatant.
« Il est temps de regarder la vérité en face ». Un ensemble de catholiques dénonce la banalisation des idéologies d'extrême droite dans leur communauté religieuse. « Notre prise de position a un objectif : alerter sur le risque que nous prenons collectivement à laisser la frange la plus conservatrice du catholicisme posséder des médias, diriger des ministères de notre pays, investir dans des biens culturels, éditer les programmes scolaires de nos enfants... »
En Savoie, des bovins sont touchés par la Dermatose Nodulaire Contagieuse, maladie contagieuse mais non transmissible à l’homme. Contre les abattages massifs, un ensemble de professionnels du monde agricole, de responsables politiques et citoyens appellent à des solutions visant à favoriser l’immunité progressive des animaux et à éviter des drames humains et socioéconomiques. « Agir fortement ne veut pas dire tête baissée. »
« Nous sommes avant tout des parents. Des mères et des pères qui avons vu nos enfants souffrir comme nul ne devrait jamais avoir à le vivre. Certains sont encore en rémission. D’autres nous ont quittés trop tôt, laissant un vide immense. » Quatre parents d'enfants empoisonnés par les pesticides alertent sur les dangers de la Loi Duplomb. Ils et elles s'adressent aux députés et sénateurs : « le vote du 30 juin aura des conséquences durables, peut-être irréversibles. »
Anticor a pris la route depuis le mois de juin dans un grand Tour de France citoyen, avec débats, projections, jeux, rencontres, pour informer, sensibiliser, populariser son engagement dans la lutte contre la corruption et pour l’éthique en politique... les cyclistes sont arrivés dimanche à Paris, mais le Tour de France d’Anticor ne s’arrête pas !
25, 26, 27 juillet.
Au croisement des sciences humaines et sociales et de la science-fiction, cet évènement propose de réfléchir aux relations que nous entretenons avec la technique.
Ce festival est gratuit et c’est sa 3e édition ! Venez donc faire un tour en Centre-Bretagne sur la commune de Mellionnec (22).
Pour sa quatrième édition, l'UEMSS rassemblera environ 2000 personnes pour 4 jours de rencontres, de partage, de formations et de fête au service des luttes sociales, écologiques et solidaires !
Du 2 au 12 octobre 2025, la ville de Fameck, en Moselle, accueillera la 36ᵉ édition du Festival du Film Arabe, l’un des rendez-vous cinématographiques dédié aux cinémas du monde arabe les plus importants de France. Cette année, le festival donnera un coup de projecteur sur la création cinématographique libanaise.