Au-delà de la composition de son futur gouvernement, l’arrivée de Sébastien Lecornu à Matignon met en lumière les réseaux qui l’entourent. Du Cercle de Giverny aux fidélités construites dans ses cabinets, se dessine une cartographie de l’influence où grands groupes, fédérations professionnelles et hauts fonctionnaires occupent une place centrale.
Avec la nomination rapide de Sébastien Lecornu à Matignon, le chef de l'état et les partis s'enfoncent une fois de plus dans une forme de déni politique.
Notre nouveau premier ministre veut une rupture de fond ? Mais le fond qu’il convient de changer ne tient-il pas à ce qui caractérise la Constitution de la cinquième république ?
La nomination de Sébastien Lecornu n’est pas un accident, ni une maladresse. C’est un geste. Un geste politique pensé, calculé, et qui s’inscrit dans une dramaturgie devenue la marque du macronisme : celle de la provocation, du choc permanent, du refus d’apaisement.
Plus de trente sociétés de journalistes, dont celle de Mediapart, demandent aux autorités de revenir sur une formule qui grave dans le marbre la possibilité pour les policiers d’entraver le travail de la presse en situation de violences urbaines.
Depuis plus d’un mois, toutes les évacuations de Palestiniens de Gaza, sans exception, sont suspendues par les autorités françaises. Plus de 400 journalistes français et francophones réaffirment leur solidarité avec leurs confrères et consoeurs palestinien.nes qui, jour après jour, documentent la destruction de la société palestinienne de Gaza.
Dans une prise de position rare, plus de 700 musiciens et musiciennes français·es et internationaux condamnent « le soutien des puissances occidentales à la politique génocidaire de l’État d’Israël, qui bafoue le droit international et ses instances en toute impunité ». Ils appellent le milieu de la musique que l’on nomme « classique » à clarifier ses positions au sujet du génocide en cours à Gaza.
Anticor a pris la route depuis le mois de juin dans un grand Tour de France citoyen, avec débats, projections, jeux, rencontres, pour informer, sensibiliser, populariser son engagement dans la lutte contre la corruption et pour l’éthique en politique... les cyclistes sont arrivés dimanche à Paris, mais le Tour de France d’Anticor ne s’arrête pas !
Jamais autant d’informations n’ont été produites, échangées et consignées qu’aujourd’hui. Mais cet avènement de la « société d’information » se solde aussi par l’apparition de phénomènes massifs de désinformation. Il revient aux sciences sociales de nous aider à y voir plus clair dans cette profusion d’informations qui sont gages tout autant d’émancipation collective que de notre possible asservissement.
Au Portugal, sous la dictature de l’Estado Novo (1933-1974), un fort mouvement migratoire économique et politique a eu lieu vers l'Europe. Et la musique et des chansons sont nées en exil, symboles de résistance et de mobilisation. Une exposition rappelant à la fois cette mémoire militante et la nécessité de la faire vivre aujourd’hui, s’ouvre à Paris.
Du 2 au 12 octobre 2025, la ville de Fameck, en Moselle, accueillera la 36ᵉ édition du Festival du Film Arabe, l’un des rendez-vous cinématographiques dédié aux cinémas du monde arabe les plus importants de France. Cette année, le festival donnera un coup de projecteur sur la création cinématographique libanaise.