Ce roman tombe à pic en plein affrontement concernant les problèmes sociaux-économiques. À vrai dire, Jean-Paul Delahaye frappe les esprits en mettant en scène et en pièce les stéréotypes concernant les pauvres et la pauvreté contre lesquels on aurait tort de penser être prémunis.
Le prévenu a accosté quelqu’un pour avoir l’adresse d’un kebab, avant de lui donner un coup de poing. Le juge l’interroge : « Pourquoi est-ce que vous frappez les individus qui vous renseignent ? Le kebab était trop loin ? Il n’était pas ouvert ? Il n’y avait plus de sauce blanche ? »
On parle souvent de la précarité économique en chiffres. Taux de chômage, inflation, pauvreté des ménages : autant d’indicateurs qui nourrissent les discours politiques et médiatiques. Mais derrière ces statistiques se cachent des vies traversées par une autre réalité, moins visible et pourtant ravageuse : l’impact psychologique et émotionnel de la pauvreté.
« Un exemple de résistance populaire à la touristification de nos littoraux et à la prédation immobilière de nos villes » : à Douarnenez, les Roches Blanches, lieu d'hospitalité et d'entraide, projet culturel et écologique « préservé de la dictature du profit » est aujourd'hui menacé par un rachat. Un collectif de citoyen·nes, collectifs, associations, universitaires, élu·es, journalistes, artisans, artistes, leur expriment leur solidarité.
Le moine Matthieu Ricard, le philosophe Alexandre Jollien, l'ancien co-président d'Ecolo Patrick Dupriez et l'universitaire Ilios Kotsou rappellent ici que rien ne peut justifier ce que vit aujourd’hui la population civile de Gaza. « C’est l’attitude même de tenter de justifier l’agression ou la mort d’innocents qui fait vaciller notre humanité. »
L'Éducation à la vie affective relationnelle et à la sexualité (EVARS) fait l’objet de nombreuses attaques. Des batailles ont dû être menées pour en arriver au texte final, notamment pour la réintégration des termes « hétérosexualité » et « homosexualité » ou pour la mention explicite des violences sexistes et sexuelles. Face aux pressions de l'extrême droite, pour la rentrée 2025, un ensemble d'associations appelle à sa pleine application et à la formation de personnels.
Anticor a pris la route depuis le mois de juin dans un grand Tour de France citoyen, avec débats, projections, jeux, rencontres, pour informer, sensibiliser, populariser son engagement dans la lutte contre la corruption et pour l’éthique en politique... les cyclistes sont arrivés dimanche à Paris, mais le Tour de France d’Anticor ne s’arrête pas !
Jamais autant d’informations n’ont été produites, échangées et consignées qu’aujourd’hui. Mais cet avènement de la « société d’information » se solde aussi par l’apparition de phénomènes massifs de désinformation. Il revient aux sciences sociales de nous aider à y voir plus clair dans cette profusion d’informations qui sont gages tout autant d’émancipation collective que de notre possible asservissement.
Pour sa quatrième édition, l'UEMSS rassemblera environ 2000 personnes pour 4 jours de rencontres, de partage, de formations et de fête au service des luttes sociales, écologiques et solidaires !
Du 2 au 12 octobre 2025, la ville de Fameck, en Moselle, accueillera la 36ᵉ édition du Festival du Film Arabe, l’un des rendez-vous cinématographiques dédié aux cinémas du monde arabe les plus importants de France. Cette année, le festival donnera un coup de projecteur sur la création cinématographique libanaise.