La tension permanente depuis des semaines, avivée ces derniers jours par la législative partielle de l'Ariège, débouche sur des échanges virulents, inutiles et infructueux. Il est temps que le ton baisse, pour que le dialogue sur le fond puisse s'organiser. Pour ce faire, il ne faut pas supprimer la NUPES, il faut la dépasser. Et pour cela, que chacun se calme...
« On a gagné » s’époumonait l’élue. Elle a gagné quoi ? De trahir son peuple, de tourner la dos à la gauche de combat, de fricoter avec les réactionnaires les plus patentés !
L’élection d’une socialiste dissidente en Ariège a généré un chœur de louanges où se retrouvaient autour des mêmes mots des membres du gouvernement, des porte-parole du Rassemblement national, des socialistes anti-Nupes, des figures du Printemps Républicain. Tous s’enthousiasmant pour cette victoire d’une gauche… dans le « bon camp ». Mais de quel camp parle-t-on ?
La dynamique de la Nupes est finie. Les électeurs d'Ariège, dès le premier tour !, le secrétaire national du PC ont planté les clous dans son cercueil.
Mais le véritable responsable de ce naufrage est Jean Luc Mélenchon. Aujourd'hui il faut construire la suite.
« Garder la planète habitable, c’est prendre conscience des enjeux liés aux déchets. La question de leur gestion ne peut se traiter qu’en reconnaissant le travail et l’expertise des premier·es concerné·es ». Alors que les travailleur·euses du déchet sont engagés dans une grève contre une « réforme antisociale et antiécologique, productiviste, qui vise à surexploiter davantage la planète, les femmes, les hommes », un arc de militant·es de l’écologie radicale leur exprime sa solidarité.
Il semble que les rêves des peuples de la région se soient évaporés aujourd'hui, après l’espoir suscité par ce qu’on a appelé le « printemps arabe ». Un ensemble de militant·es associatif·ve·s, syndicalistes, politiques, intellectuel·les et artistes au sein du Maghreb dénoncent les agressions et les violations des droits et libertés perpétrées par le pouvoir dans les pays de la région, appellent à unifier les forces pour faire face à l’oppression.
Alors que la sécheresse menace la fertilité des sols français, les terres du plateau de Saclay offrent d'excellents rendements sans irrigation grâce à leur qualité exceptionnelle. Pourtant elles sont menacées par la ligne 18 du métro du Grand Paris. Des paysan·ne·s qui les cultivent témoignent dans cette lettre de la richesse de ces sols et de l'importance de les protéger.
Mediapart fête ses 15 ans le samedi 15 avril de 14h à 18h au Fait Social au cœur du Quartier Libre de Rouen. En présence du Poulpe, de Jade Lindgaard, Matthieu Suc, Michaël Hajdenberg, Edwy Plenel et d'autres invité·es. Venez échanger sur l'écologie, l'enquête ou encore le terrorisme.
Les rencontres publiques de fondation du Syndicat de la Presse Pas Pareille (SPPP), auront lieu le samedi 15 avril 2023, de 15h jusqu’au soir, à Ménilmontant. L’objectif : fédérer un maximum de médias libres autour de revendications fortes, de besoins communs et de formes de mutualisation, pour imposer un rapport de force plus important sur le terrain médiatique. Rejoignez-nous !
Ce mardi 21 mars à 19h30, le Cinéma Les Carmes reçoit Marin Karmitz autour de quatre de ses courts-métrages : Les idoles (1963) ; Nuit noire, Calcutta (1964) ; Comédie (1966) ; Etranger résident (2018). Avec Marin Karmitz, c'est un pan de l'histoire du Cinéma, comme celui de la génération des années 68, de ses espoirs comme de ses désillusions qui se raconte.
Dom'asile, la LDH, RESF, la Cimade et d'autres vous invitent à une réunion publique d'information aux Amarres. Le 22 mars à 19h30, venez vous informer et discuter du projet de loi asile et immigration lors de cette soirée consacrée à la présentation des trois principaux thèmes de ce texte : asile, éloignement, immigration choisie.