L'été et son bal d'allers-retours. Depuis quelque temps, les événements météorologiques extrêmes (canicule, sécheresse) se multiplient en Europe et donnent à voir ce que certains pays comme le Kenya subissent depuis des années. Pourtant, pour beaucoup, le besoin de voyager dans des contrées lointaines à l'aide de moyens aggravant le dérèglement climatique demeure.
Les vagues de chaleur à plus de 40°C ne sont pas une fatalité. Elles vont même devenir plus nombreuses, plus longues et plus intenses. Les nommer, c'est montrer que le réchauffement climatique se conjugue ici et maintenant. Choisir le nom de « TotalEnergies » c'est montrer que les responsabilités sont différenciées et qu'il faut que la multinationale arrête d'alimenter la catastrophe climatique.
[Rediffusion] Depuis février, la voix collective des féministes ukrainiennes n’a pas été entendue. Dans un manifeste, elles exhortent les féministes du monde entier « à la solidarité avec la résistance du peuple ukrainien contre cette guerre impérialiste prédatrice ». Alors que l'agression impérialiste russe « met en péril les acquis des féministes ukrainiennes dans la lutte contre l'oppression », elles appellent à défendre le droit des femmes d'y résister et de déterminer de manière autonome leur stratégie politique face au gouvernement ukrainien.
En entrant à l’Assemblée, Marine Le Pen a déclaré « c’est pas une ZAD ici ! ». Face à l’effondrement en cours du système Terre, et à l’absence de réponse à la hauteur de la part du monde politique, un collectif de militante·s, responsables et élue·s écologistes appellent à la désobéissance civile. Ils et elles enjoignent à créer « toutes les ZAD nécessaires, pourvu qu’elles nous incitent à nous réveiller collectivement » : « Devenons des Zadistes de la République ! »
Alexander Cherkasov, de l’association « Memorial » dissoute par le Kremlin, est venu en France pour faire entendre l’une des rares voix non encore étouffées de la mauvaise conscience du Kremlin. Ce mercredi 6 juillet, il a prononcé un texte puissant aux journées Azat Miftakhov contre la guerre, qui se tiennent à l’Institut des hautes études scientifiques (IHES). Le voici.
Oui, une autre commémoration est possible pour fêter l'amitié franco-algérienne et les 60 ans de l'indépendance de l'Algérie. Et pour le faire il est important que les événements douloureux et dramatiques ne soient pas escamotés. C’est le sens de la projection le 10 juillet, du film "Les balles du 14 juillet 1953" et de l’hommage aux victimes de ce massacre le 13 juillet place de la Nation.