Où est le débat public sérieux sur l'avenir du nucléaire ? Stop ou encore ? Telle est la question qui engage les générations futures. Une enquête remarquable et sans concession qui expose faits et enjeux. (Gilles Fumey)
L'écologie politique a toujours manifesté une aversion contre le nucléaire. Pourtant, cette source d'énergie décarbonée n'est pas dénuée d'intérêt. D'où vient alors ce désamour pour le nucléaire ? Le nucléaire devrait se guérir de deux maux : sa filiation militaire qui met en exergue sa dangerosité, et l'absence d'une vision stratégique renouvelée et forgée avec l'adhésion de la société.
L’avenir n’est plus ce qu’il était ! La guerre en Ukraine, la menace nucléaire, la crise alimentaire, le dérèglement climatique, les feux gigantesques de l’été, les inondations meurtrières, autant d’épisodes anxiogènes de la modernité face auxquels nous devons impérativement réagir. Ces désordres du monde constituent une opportunité à saisir pour modifier notre trajectoire
Maintenant que la France est en proie à des incendies en lien avec le réchauffement climatique, que notre pays manque de plus en plus d’eau et que notre président et ses ministres, après avoir renationalisé EDF, nous préparent un grand plan à base d’énergie nucléaire, il serait temps de mettre les points sur les « i ».
On trouve ici et là des aficionados du nucléaire pour expliquer que pour continuer à consommer et à croitre sur le rythme actuel, il suffit de construire des centrales nucléaires.
C'est d'ailleurs l'essence du plan pour l'énergie de notre renouveau président.
Alors causons un peu croissance énergétique et centrales nucléaires.
La France doit s'opposer à l'exportation, pour démantèlement, du porte-avion São Paulo (ex-Foch, frère jumeau de Clémenceau) du Brésil vers la Turquie, considèrent les associations Henri Pézerat et Ban Asbestos France. Elles exhortent le président Macron, dans une lettre détaillée, d'intervenir dans le transfert désormais imminent, le navire étant fortement contaminé par des substances hautement toxiques.
Fruit d’un travail prétendument consultatif, Emmanuel Macron a présenté le plan « France 2030 » pour atteindre une alimentation « saine, durable et traçable ». Un collectif d'étudiant·es en agriculture, agronomie et agroalimentaire dénoncent l'absence de prise en compte de leurs préconisations. « Premiers cités par le plan d’investissement France 2030, ne nous reconnaissons pas dans cette vision techniciste de l’alimentation et de l’agriculture. »
De nombreuses organisations et personnalités oeuvrant pour les droits humains en Tunisie dénoncent les campagnes d'insultes et d'intimidation sur les réseaux sociaux, et les médias, à l’encontre de celles et ceux ont critiqué le processus référendaire et la nouvelle constitution. « Nous tenons le président de la République, son ministre de l'Intérieur et l'ensemble du gouvernement pour responsable de tout ce qui peut atteindre la sécurité des victimes de ces campagnes. »
Lisaboa Houbrechts, star montante de la nouvelle scène flamande, présente sa dernière création, détonante croisade polyphonique contre les assignations de genre et les oublis historiques, de l’évincement des guerrières antiques à l’avènement du monothéisme chrétien.
De la rage et de l’amertume de nos expériences, mais aussi du besoin de se sentir moins seul.e.s, est née l'envie de se connaitre et de se lier. Le réseau « Les Peuples Veulent » entend intensifier les circulations révolutionnaires entre territoires et continents. Le texte qui suit est un manifeste autant qu'une invitation.
« Je ne suis qu’un saltimbanque qui sème ses mots à tout vent... » et de quelle manière ! Morice Bénin, chanteur, poète, artiste, nous a quitté il y a un an et demi et on va s’en souvenir, à Die (Drôme) du 22 au 24 juillet avec un concert, des chansons, lectures, une fresque, ateliers d'écriture, de voix, expositions, traces en Diois et «Sous les arbres, rejoignons-nous». Allons-y !